J’ai toujours tenté un espace ouvert, ma peinture a toujours été une tentative d’ouverture. Le tableau doit apparaître comme un univers en train de se faire, un monde en dilatation…Chercher un état de vibration continu, de respiration, d’élargissement…. […] Je sais qu’une toile est lumineuse quant elle est en expansion.
Tal Coat, Sur l’arête de la courbure. Centre d’art Nicolas de Staêl, 1995